Et voilà que la nouvelle politique de la ville de PARIS est l'art de couper les arbres et de bétonner à tout va.
Bouziller les serres d'Auteuil ne suffisait pas et la politique de termites socialiste continue son grignotage en s'attaquant aux arbres du bois de Boulogne et aux arbres centenaires.
NON, IL Y A QUELQUE CHOSE QUI CLOCHE et nous commençons à mépriser la provocation anti-nature de la politique de cette ville qui devient morbide, grise, terne.